Le nez dans les tuiles
Je regarde la ville
La tête dans les toits
Je pense encore à toi
Le temps fera l’affaire
Le temps fera l’affaire
Le temps fera l’affaire
Les oiseaux prennent des râteaux
Les volets restent clos
Sur le bleu des ardoises
La pluie écrit des maux
Le temps est un calmant défaillant
Mes élans me lancent
Mais y’a pas d’autre pansement
Pour apaiser les absences
Le temps est un calmant défaillant
Mes élans me lancent
Mais y’a pas d’autre pansement
Pour apaiser les absences
L’oreiller est dépeuplé
Ton empreinte se tait
Et mes doigts orphelins
Cherchent en vain sur le coussin
Le temps est un calmant défaillant
Mes élans me lancent
Mais y’a pas d’autre pansement
Pour apaiser les absences
Le nez dans les tuiles
Je regarde la ville
La tête dans les toits
Je pense encore à toi